Il est vrai que, si je voudrais pousser un peu plus loin mes petites explorations locales, mon humble monture ne pourrait pas suffire.
Du coup, un autre type de véhicule peut être envisagé.
Certes.
Il y a le cheval, j’avoue qu’en tant que ancien cavalier, ça me plairait assez. Mais il lui faut un box pour être à l’abri, de la nourriture en conséquence et des soins vétérinaires. Et c’est un être vivant avec son caractère et sa sensibilité. Ha oui. Et beaucoup plus fin que certains singes à deux pattes qui se pavanent (voir autres textes postés avant…).
L’avantage, c’est un vrai tout-terrain, le sieur équin.
Inconvénient, son carburant à lui, il faut maintenant lui ramener avec un autre véhicule, un chouille plus grand, style camion, pour avoir une ration décente tous les jours.
Oups donc.
Donc la question du carburant est un élément qui rentre en ligne de compte.
Ma modeste machine vélocipédique se contente du moteur de mes jambes, et du carburant qu’est l’eau que j’emporte sur le dos ou dans les sacoches maintenant (plus quelques morceaux de sucre et quelques biscuits secs).
Et l’autonomie, ma foi, dépendra de ma forme du jour. Cela peut être 30 km (aller retour en 2 heures) ou 10 km (aller retour en 1 heure). Certes loin des heures et des heures en selle plus jeune ^^. Mais les horaires de travail et la vie d’adulte sont passés par là.
Strictement rien à voir avec le texte, mais le bruit du vent dans les arbres autour de moi, durant l’écriture de ce même texte, est doux son à mes oreilles.
Je pourrais utiliser mon véhicule pour mes balades plus loin, mais il n’y a pas la même magie, la même sensation de découvrir les choses, à une échelle de vitesse et de temps différente de celle en automobile.
Et côté autonomie, on a un peu régressé. De 60 litres à 40 litres côté réservoir… Donc le kilométrage disponible diminue aussi… Pour la même consommation (voir un chouia plus, vu la taille des … Choses qu’on dit SUV ??? Plus grosses que les diligences du 19ième siècle !).
Mais bon, avant qu’il y en ai un qui nous propose un véhicule avec de l’autonomie concrète (1000 km, un minimum), une consommation light (1 litre maximum), une construction et un recyclage pensé du début à la fin… Ma Doué ! C’est pas demain.
Du coup, mon vélocipède me convient très bien.
De l’eau, du sucre et des biscuits secs. What else ?
James Jones
Old Tracks and Stories 
Pour le cheval, Gaspard Kœnig a tenté, durant un été, de faire un long voyage seul avec une jument, en empruntant les chemins qui se présentaient à lui. Je n’ai pas lu le livre qu’il a tiré de cette expérience (« Notre vagabonde liberté »), mais j’ai souvenir de remarques de sa part semblant indiquer que certaines zones ne sont clairement pas adaptées pour un trajet à dos de cheval. Bon, si mes souvenirs sont bons il s’agissait principalement des périphéries de grandes villes, ces zones hideuses où les ronds-points bornent les parkings de grande surface, et où aucune ingénieur des Ponts et Chaussées n’a imaginé qu’un être de chair et de sang puisse vouloir utiliser ses jambes pour se déplacer… ceci pour dire que le côté « passe partout » du cheval n’est pas garanti. Finalement, vous êtes bien mieux sur votre fier destrier d’acier, s’il répond à votre besoin 🙂
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Merci beaucoup pour l’information sur ce livre !
Je ne connaissais même pas son existence oO
Il est clair qu’avec les années de décalage, on a rattrapé, voire même dépassé dans certains cas de circulation urbaine, les USA.
En ce moment, c’est la tendance inverse qui se passe chez eux, car s’étant aperçu du taux d’accidents de piétons dû à de tels aménagements… On remet les bipèdes dans la rue.
Cela peut être un sujet assez vaste de réflexion…
Oui ^^ il passe assez bien partout, quoique j’évite certaines zones routières, trop aléatoires côté sécurité de circulation. L’avantage c’est que cela me permet de trouver d’autres chemins possibles.
Merci beaucoup pour vos messages et retours ^^
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Tout le blâme vous revient pour mes retours : si ce que vous écrivez ne me donne aucune envie d’écrire en réponse, je m’abstiens 🙂
Bon, j’en prends une partie aussi : j’ai aussi un peu de temps pour vous répondre, ça aide ! Vacances aidant, j’en aurai un peu moins dans les prochaines semaines, mais je crois que je peux compter sur l’appli WordPress pour me tenir au courant des nouveaux billets ici !
Très bonne journée et bon week-end
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😊😁😃
Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous noyer sous des trombes de notifications pour avoir une réponse ^^
Dans le sens retour, c’est la nature et le contenu de l’échange qui me plaît beaucoup 😊, car c’est enrichissant.
Bonnes vacances du coup ^^ 🌞🌻🏡🎉🥳🎶
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Je me doute, je faisais référence à un commentateur de Justin qui essayait de lui expliquer que sur WordPress il faut faire des cross-like et que si quelqu’un « like » votre billet il faut vite aller mettre un like sur un de ses billets.
Je crois que ça m’a fait réaliser (une fois de plus) qu’il y a plusieurs planètes sur notre bonne vieille Terre, vu que je ne suis pas sur la même que ce monsieur 😇
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Cross-like ? Je ne connaissais même pas cette expression 🤔. À la limite, crossover, oui ^^
Je dois être aussi sur une autre planète alors ^^
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Le véhicule idéal motorisé dépeint ne sera jamais envisagé, il est par trop anti-commercial ! 😉
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Ha ça, c’est clair que ça n’irait pas dans le sens de certains.
Mais ça viendra…
Petit exemple récent : le messire Elon a bien été pris pour un imbécile (et autres choses aussi) par les ténors qui lui promettaient aucun avenir.
Maintenant, qui hurle au désespoir de n’avoir pas pris son parti et le coche avec, parmi les mêmes tristes sires ?
Une voiture électrique à près de 1000 km d’autonomie, des lanceurs réutilisables, …
Certes lui-même n’est pas le chevalier blanc, loin de là. Mais il a imposé à d’autres, SES règles commerciales.
Je suis assez réaliste sur la nature humaine depuis mon enfance. Je sais à quoi m’en tenir, et d’une certaine manière, vu que j’en attends rien (vue de l’esprit) je ne suis pas déçu.
Par contre, des personnages qui sortent du lot et secouent les cocotiers des figés du haricot rose, ça me plaît ^^
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De certains ? Tu veux dire de la majorité ?
Je me souviens de mes retours de WE à Toulouse, quand je descendais en vélo l’avenue de Grande-Bretagne en vélo, sur une ligne blanche, coincée entre un bus dans son couloir et un camion dans la voie normale de circulation, c’était craignos ! Tout était conçu pour des moteurs, pas pour des moyens de locomotion différents ! 😉
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Les joies des urbanités galopantes conçues sans les principaux utilisateurs… Leurs habitants.
Hélas encore le quotidien de beaucoup de citadins.
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Le citoyen sur 2-roues ne fait pas le poids face à l’industrie automobile et tous ses corollaires, c’est un empêcheur de tourner en rond qui devant les airbags Takata, les rappels des trois-cylindres 1.2 PureTech Turbo, les batteries des électriques qui explosent pour les derniers soucis automobiles, pourraient inciter de nouveaux adeptes de la petite reine et des beaux mollets à passer à une autre vie ?
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Possible…
Je pense aussi au coût.
Dans ma ville, c’est curieux le nombre de cyclistes qui augmente.
Assurances, essence, etc…
Et batterie qui explose !
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C’est pour cela que des mollets bien entraînés ne constitueront jamais un risque ! Il est sûr qu’entre les grèves dans les transports, le prix de revient de son véhicule personnel au quotidien, en agglomération le 2-roues peut-être une alternative, si les infrastructures le permettent ! Je balisais un peu en rentrant dans Toulouse et ne le referais pas à moins de la présence d’un couloir pour cyclistes ! 😉
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Je vais être un peu taquin pour les automobilistes locaux (ou de passage), mais avec un petit troupeau de bisons ou de taureaux (du vrai, du gros, du rodéo) en guise de moyen de transport, ça devrait se pousser un peu ^^ ?
Plus sérieusement, côté transport urbain, sur Toulouse, ça se développe un peu plus ?
En général, ce dernier facteur aide un peu aussi (si le réseau dédié est bien étoffé et maillé).
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Sauf que le taureau pour me déplacer… ce n’est pas pour moi, j’ai déjà peur des chevaux nettement moins agressifs ! 😉
Sur Toulouse, je ne sais presque plus rien, si ce n’est que cela ne ressemble plus du tout à ce que j’ai connu dans ma jeunesse, j’en suis partie en 1984, et les rares fois où j’y ai remis les pieds ce n’était qu’une étape sans lendemain ni exploration, le temps de changer de train ! 😉
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Cela peut être homérique la traversée de Toulouse avec un taureau ^^ …
Désolé, j’ai parfois un petit côté Tex Avery à l’ancienne.
J’ai cru comprendre par des collègues de travail qui y sont allés pour des formations, que c’est une ville comme beaucoup maintenant : étendue, urbanisée…
Y a t’il quelqu’un de Toulouse par ici ? Pour nous en parler un peu ^^
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Imagine entre les années 70 et mon départ, la rue d’Alsace-Lorraine, l’artère principale était toujours un passage difficile à son croisement avec la rue Metz, puis aux alentours de la place du Capitole (il y avait tous les grands magasins tout autour), et pour finir, il fallait traverser le boulevard de Strasbourg et remonter la rue Bayard pour accéder aux gares (routière et ferroviaire), maintenant la rue d’Alsace-Lorraine est piétonne…
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En regardant vite fait via Maps, j’ai vu un peu le dit chemin…
Je pense (sic…) que ça n’a pas trop changé depuis, à part bien sûr les façades, decorum et autres joies urbanistiques.
On va très bien d’en haut, les nouveaux quartiers… Cela laisse supposer une population plus dense en centre-ville encore depuis les années 70.
Donc une circulation…
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Les 2 immeubles où j’ai habité dans le quartier Saint-Agne existent toujours, même si l’environnement n’est plus le même, pour le reste, je ne sais pas…
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